La contraception, ce n’est pas évident pour toutes les femmes. Si pour certaines, ce n’est pas un problème, pour d’autres c’est un véritable casse-tête. Sophie fait partie de cette deuxième catégorie.
Je n’ai pas tout testé, mais presque… Ce n’est pas évident de trouver un contraceptif qui convient vraiment ! Et malheureusement, ces messieurs ne sont pas encore prêts à prendre la pilule à notre place. Alors entre prise d’hormones et prise de poids, je vous raconte mes déboires contraceptifs !
La pilule contraceptive
Je suis sous contraception depuis l’âge de 17 ans. J’en ai aujourd’hui 28. Ça fait donc une décennie que je suis bombardée d’hormones. Pendant plusieurs années, j’ai pris la pilule. Comme toute jeune fille plus ou moins bien conseillée par mes aînées et ma gynéco, j’ai opté pour la pilule sans savoir qu’il existait d’autres moyens.
L’anneau contraceptif
Après plusieurs oublis, j’ai décidé de changé de contraceptif et j’ai choisi d’utiliser un anneau contraceptif. Il s’agit, comme la pilule, d’un contraceptif hormonal sauf qu’il se présente sous la forme d’un anneau à insérer dans le vagin. On le garde 3 semaines, puis on l’enlève. On remet un nouvel anneau une semaine après. Les règles surviennent pendant cette période. Tout comme la pilule, vous pouvez « supprimer » les règles en enchaînant deux anneaux.
L’implant contraceptif
Puis en janvier 2016, j’ai décidé de me faire poser un implant contraceptif. J’avais espoir que mes règles disparaîtraient pour de bon, avec mon syndrome prémenstruel avec. Et puis, un implant devant restant en place 3 ans, j’étais tranquille pour un bon bout de temps. Malheureusement, après plusieurs mois, c’était la fête du slip dans ma culotte. J’avais mes règles (ou plutôt des spotings) plusieurs fois par mois et je subissais toujours les effets du SPM…
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Le dispositif intra-utérin
En décembre 2016, j’ai donc pris la décision de changer encore de moyen de contraception. Entre temps, j’avais pris connaissance de différents problèmes liés aux hormones des contraceptifs. Il n’y avait plus vraiment de solution : abstinence (haha), contrôle de la température (et autres techniques permettant de connaître notre cycle) ou DIU en cuivre (aussi appelé stérilet).
Le DIU, ou dispositif intra-utérin, se met dans l’utérus par un gynécologue. C’était pour moi la meilleure solution : pas d’hormones et pas besoin d’y penser avant 5 ans. Sauf que… la pose de mon DIU s’est très mal passée. Bien évidemment, chaque cas est unique. Je vous parle de mon expérience, et beaucoup de femmes se sont fait poser un DIU sans ressentir aucune douleur ! En ce qui me concerne, j’ai eu très mal car mon utérus est mal positionné. Il a fallu faire plusieurs tentatives pour réussir et j’ai eu un aperçu de mon éventuel futur accouchement grâce aux merveilleuses contractions de l’utérus que j’ai enduré à ce moment là. La pose a donc été très douloureuse ! J’ai dû faire une échographie pour vérifier que le DIU était bien en place. Normalement je suis tranquille pour 5 ans !
Et vous, vous en êtes où avec la contraception ?
Cindy Manu
Passionnée par le monde des mots et avide de découvertes, je m'appelle Maria Alejandra. En tant que rédactrice au sein de ce magazine féminin, je suis constamment en quête d'informations captivantes à partager avec notre précieuse communauté.
Ma curiosité insatiable m'entraîne à explorer les recoins les plus variés d'Internet, où je dévore avec enthousiasme tout ce que je peux trouver. C'est avec une joie débordante que je m'engage à vous transmettre les trésors de connaissances que je découvre, en particulier dans le domaine des animaux.